Les cuisines

Des religieuses, aidées d’un personnel laïc, cuisinent quotidiennement plus de 2000 repas. À cet effet, des cuisines de taille industrielle sont aménagées au rez-de-chaussée de chaque aile de la Maison mère. Des cuisines plus petites, situées à proximité des réfectoires (salles à manger), servent à réchauffer les plats.

Des machines industrielles variées, ajoutées au fil des années, aident à la préparation des repas : chaudrons à vapeur, rôtisseurs, malaxeurs, percolateurs, congélateurs, etc.

Cuisine, 1930. Photographie : auteur inconnu. Archives des Sœurs grises de Montréal, Fonds de la Maison mère (Montréal), L082-H-1-65-53

Cuisine de la Crèche d’Youville, avant 1925. Photographie : auteur inconnu. Archives des Sœurs grises de Montréal, Fonds de la Crèche d’Youville (Montréal), L002-L-1-02

Cuisine, avant 1946. Photographie : auteur inconnu. Archives des Sœurs grises de Montréal, Fonds de la Maison mère (Montréal), L082-9Y1A

« En ces temps-là [années 1940-1950], la nourriture était très sobre mais bonne. »

Témoignage de Sœur Rollande Paris, s.g.m.,
recueilli au Square Angus (Montréal), le 28 novembre 2023

Cuisine centrale, 1966. Photographie : auteur inconnu. Archives des Sœurs grises de Montréal, Fonds de la Maison mère (Montréal), L082-9Y16C

« Quand on faisait cuire le poulet, on faisait cuire 98 poules en même temps! Il fallait aussi les désosser… On avait un four à 4 étages.  Il fallait que je me lève à 4 heures du matin; je descendais en bas en jaquette pour allumer le four pour qu’il atteigne 350 degrés à midi. »

Témoignage de Sœur Claudette Ménard, s.g.m.,
recueilli au Square Angus (Montréal), le 28 novembre 2023

Une sœur inspectant des pommes dans la cuisine, [vers 195-?]. Photographie : auteur inconnu. Archives des Sœurs grises de Montréal, Fonds de la Maison mère (Montréal), L082-9Y5F

Épluchoir à pommes, [19-]. Collection des Sœurs grises de Montréal, 1997.175

Baratte à crème glacée, [19-]. Collection des Sœurs grises de Montréal, 1974.H.213

« Je me rappelle encore des bandes de tire à la citrouille cuite au four… C’était assez bon! C’était fait dans des lèchefrites. En cuisant, la citrouille, ajoutée au sirop d’érable et à des clous de girofle, caramélisait. C’était assez bon!  Et les brioches du dimanches matin !! Ohhh!!  Sœur Gilberte Cadieux une cuisinière hors pair! Tout était bon. »

Témoignage de Sœur Réjeanne Reid, s.g.m.,
recueilli au Square Angus (Montréal), le 28 novembre 2023

124 ans de présence à la Maison mère

Le potager et le verger

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Réfectoires

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