Le rucher
Près de la chapelle est installé un rucher. Son origine n’est pas datée, mais il semble qu’il soit assez ancien. Les abeilles servent à féconder les pommiers du verger et fournissent du miel aux religieuses et au personnel du manoir. En 1920, le rucher est encore de taille modeste, composé seulement de cinq ruches. Mais en 1947, on en compte 50. Un laboratoire est construit à côté pour travailler à la transformation du miel. La production de miel alimente les œuvres de la congrégation à Montréal et une partie est achetée par d’autres congrégations religieuses.
Sœur apicultrice, vers 1949. Photographie : auteur inconnu. Archives des Sœurs grises de Montréal, Fonds du Manoir de Châteauguay, L004-Y17G
Sœur apicultrice, vers 1949. Photographie : auteur inconnu. Archives des Sœurs grises de Montréal, Fonds du Manoir de Châteauguay, L004-Y17H
Rucher, non daté. Photographie : auteur inconnu. Archives des Sœurs grises de Montréal, Fonds du Manoir de Châteauguay, L004-Y20L
Rucher, non daté. Photographie : auteur inconnu. Archives des Sœurs grises de Montréal, Fonds du Manoir de Châteauguay, L004-Y20-L
Sœurs apicultrices, non daté. Photographie : auteur inconnu. Archives des Sœurs grises de Montréal, Fonds du Manoir de Châteauguay, L004
L’extraction du miel par Sœur Marguerite Hudon, s.g.m., vers 1960. Photographie : auteur inconnu. Archives des Sœurs grises de Montréal, Fonds du Manoir de Châteauguay, L004-Y27A
Deux sœurs produisant du miel au laboratoire, vers 1960. Photographie : auteur inconnu. Archives des Sœurs grises de Montréal, Fonds du Manoir de Châteauguay, L004
Le rucher de Châteauguay, dans Chez nous (extrait)/Sœur Flore Barrette, s.g.m., [195-196-]. Film 8 mm. Archives des Sœurs grises de Montréal, F054A